10000 CANTANDO BETHOVEN.FRANCIA http://www.youtube.com/embed/paH0V6JLxSI

GUY CREQUIE

Francia

 

REGARD SUR LE MONDE

ET INTERPRETATION PHILOSOPHIQUE---(Comprendre, expliquer, la vague du terrorisme islamiste qui déferle dans les pays musulmans) Auparavant, et enfin, après près de 5 mois de répression du régime syrien contre ses populations, le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté une résolution appelant le Président syrien à arrêter le massacre, à respecter les droits humains, et la Russie ne s'est pas opposé à cette résolution.--Certes, cette résolution est insuffisante ; cependant à ce jour, ni les pays arabes, ni l'opposition interne au régime ne souhaitent une intervention militaire extérieure malgré le prix du sang lors de chaque manifestation.Présentement, la communauté internationale se devrait d'utiliser et de combiner toutes les formes de pressions et de sanctions existantes : économiques, financières, politiques, juridiques (avec les Institutions pénales internationales) contre le régime syrien.¨--Sinon : faisons le constat ! Le 11 septembre 2001, les américains ont connu l'horreur ; et étaient la cible ! Cependant depuis, les principales des victimes sont : Afghanes, irakiennes, indiennes, pakistanaises, et parfois algériennes, libanaises,....Il est cette réalité : dès qu'un groupe islamiste même inconnu adresse un communiqué à la presse, il y a de larges extraits dans les médias ; dans le même temps, les Musulmans progressistes parlent dans le désert ou n'ont pas les mêmes relais médiatiques !Il est de la responsabilité de toutes les grandes Institutions, certes sans ingérence, mais au minimum, de les aider à s'exprimer.

Tout ce qui touche aux droits et devoirs humains, au respect de la dignité de la vie a-t-il moins d'importance et d'intérêt que la menace fanatique ?--Lorsque des prix internationaux sont attribués à des personnes comme à l'iranienne Shirin EBADI, cela aide les causes démocratiques en ces pays ; Justement, il faut poursuivre le dialogue certes difficile et exigeant avec le Pakistan et l'Iran. Ceci, car l'un possède l'arme nucléaire et l'autre, a l'aspiration de l'obtenir. Ensuite culturellement ces pays ont une histoire fantastique. Certes, il ne faut rien céder sur les valeurs fondamentales, mais laisser ces pays dans l'isolement, nous vaudrait un jour des réveils douloureux et de séreuses convulsions pour la paix mondiale.

Sinon, que dire : La colonisation a été plus aisée avec l'affaiblissement des pays arabes. 1924, par exemple, a été l'année du grand bouleversement avec le démantèlement de l'Empire Ottoman, et la dissolution du califat, autorité religieuse suprême depuis treize siècles.---Quatre ans plus tard, seront fondés les frères musulmans qui reconnaissent le Coran comme la seule Constitution. En 1956, la déroute militaire du Raïs : NASSER, lors de la guerre éclair menée pour contester la nationalisation forcée du canal de suez, humilia une nouvelle fois le monde arabe.

Depuis un siècle, les musulmans vivent des turbulences, voire des violences avec la colonisation, puis la décolonisation, et ensuite, l'échec des idéologies porteuses d'espérance qui étaient le panarabisme et le socialisme ;  dirigeants de ces pays, s'allier avec les islamistes, peut apparaitre une solution plus favorable pour leurs intérêts pour étoffer une contestation démocratique plus dangereuse pour les systèmes en place et leurs suppôts.

Alors, à propos des manifestations de masse en Egypte, en Tunisie, en Syrie, et dans d'autres pays, doit-on parler de contestation populaire ou de révolution ? Dans maints pays, avec le parti unique, et des syndicats inféodés au système, l'opposition disparate n'a pas l'expérience d'une contestation organisée . --Les mouvements des mouvances islamistes ont cet avantage, de disposer d'expression, de forces organisées, disciplinées, et de l'argent.

Afin que la bascule démocratique puisse être réelle, la question urgente, est celle du règlement des problèmes sociaux et économiques. Les résoudre, donnerait toutes ses chances à la démocratie !Ne pas les résoudre, ouvrira la voie à de nouvelles convulsions et avancées des mouvements fondamentalistes, intégristes et fanatiques. Or le monde est actuellement en crise !--La démocratie ne peut pas être imposée de l'extérieur, comme en atteste l'échec américain en Irak, et les difficultés actuelles des forces de la coalition en Afghanistan.

La démocratie doit naître du combat des individus, de leur enracinement dans la société, de la légitimité donnée par le peuple. De ce point de vue, l'Occident malgré des réussites n'est pas un modèle comme en témoignent la crise de la zone euro et l'endettement américain. C'est aux Musulmans de défricher leur voie originale et spécifique en réussissant le défi de la rencontre avec la modernité. L'Asie ? a ce pouvoir d'anticipation et d'émotion de l'avant, l'Occident notamment européen a cette propension de l'analytique de l'après. Il importe de trouver la sagesse de la voie médiane celle du pendant que, lorsque que, durant que,....copyright Guy CREQUIE

Ecrivain et chercheur français,Messager de la culture de la paix de l'UNESCO¨-Président honorifique des Nations Unies des lettres--Lauréat des Académies Européenne et mondiale de la culture et des arts.

UNILETRAS- Semences de jeunesse........Et la notion de VERITE !

La démarche d'UNILETRAS-Semences de jeunesse, est un lieu créatif qui met en relation les savoirs. C'est la préfiguration d'un processus allant du poète qui éternise une émotion, interpelle les consciences en vers ou en prose, au philosophe qui recherche la vérité, à l'action prophétique qui prévoit la vérité et l'annonce, et dans l'aboutissement de l'action historique, l'action citoyenne qui la réalise---La notion de vérité se définit de manière classique par l'accord de notre pensée (perception-jugement) avec le réel. En revanche, en mathématiques où il s'agit uniquement de rigueur interne d'un raisonnement, la vérité se définit par l'existence de la pensée avec elle -même (définition de KANT.)

Lorsqu'il s'agit du devenir historique, on doit alors, se faire une conception dialectique de la vérité. Elle est l'accord de ce que nous pensons avec ce qui va venir (HEGEL-MARX)---D'un point de vue purement pratique, la vérité d'une conception se définit par la réussite (pragmatisme de PEIRCE, W.JAMES, J.DEWEY.) Pour Karl POPPER, toute théorie ou modèle proposé qui ne peut pas être contesté, est une falsification.On voit bien : selon qu'il s'agit du monde physique ou du monde de l'histoire et des relations humaines que la vérité possède un sens absolu ou relatif.

La philosophie pour ce qui la concerne par l'intelligibilité recherche la vérité. Mais : de quelle vérité s'agit-il, et de la vérité de quoi ? La philosophie première ou fondamentale a pour sujet de connaître le fondement de la pensée humaine : (PLATON, SPINOZA, KANT, FICHTE, HEGEL....) C'est dire : la lumière ou l'absolu qui rend possible tout savoir, et alors, on parle de vérité ! Cependant, il peut s'agir d'obtenir une connaissance vraie des phénomènes de la nature, et c'est le sujet de la science en général;

La philosophie moderne, pour ce qui la concerne, a incliné les esprits vers une réflexion sur l'histoire....MERLEAU-PONTY, philosophe français, conseillait à cette fin, le détachement et le non engagement, qui, seuls, permettaient une vue lucide, profonde, et à long terme de la vérité historique. Il opposait ainsi, la réflexion philosophique sur l'histoire à l'aveuglement de l'homme de parti. Cette réflexion ne devait être elle-même, qu'un moment au service de l'action authentique (qui va dans le sens de l'histoire, ou de la vérité historique.)

Parmi les valeurs définies par Emmanuel KANT: Bonté, beauté et vérité, l'éducateur japonais MAKIGUCHI, a substitué le gain à la vérité, ceci, car il pensait : que la vérité ne pouvait qu'être reconnue et non créée. Et par gain, il entendait la création de valeurs par l'homme. Pour permettre à l'être humain de mener une vie fondée sur la bonté, la beauté, et l'acquisition de valeurs positives, il fallait selon lui = l'appui de la religion !

Jean-Paul SARTRE, a envisagé le problème de la vérité sous l'angle de l'intersubjectivité. S'opposant à la notion du mystère de HEIDEGGER, l'auteur conçoit la vérité dans les rapports humains comme don à autrui et par là, dévoilement de soi-même.

La démarche d'UNILETRAS-Semences de jeunesse, est un lieu créatif qui met en relation les savoirs. C'est la préfiguration d'un processus allant du poète qui éternise une émotion, interpelle les consciences en vers ou en prose, au philosophe qui recherche la vérité, à l'action prophétique qui prévoit la vérité et l'annonce, et dans l'aboutissement de l'action historique, l'action citoyenne qui la réalise.

Quelle vérité est recouverte pour l'appellation d'Amérique latine ? Diverses approches existent selon des critères multiples dont souvent selon l'approche = l'un est privilégié !L'expression « Amérique Latine » a été utilisée pour la première fois par le poète colombien José María Torres Caicedo en 1856 et par le socialiste chilien Francisco Bilbao, tous deux proches de Lamennais.--Le concept d'une Amérique catholique et latine s'opposant à une Amérique anglo-saxonne et protestante a été repris par l'entourage de Napoléon III. En 1861, c'est au nom de la défense de ces pays « latins », considérés comme culturellement proche de la France, que l'empereur envoie une expédition au Mexique dans un contexte de panlatinisme.

Le développement de l'expression « Amérique Latine » est donc lié aux visées coloniales de Napoléon III dans cette région, aux alentours de 1860, lors de l'aventure mexicaine. C'est le Français Michel Chevalier qui mit alors en avant un concept de « panlatinité » destiné à promouvoir les ambitions françaises en opposant les régions de langue latine (espagnol, portugais, et français) dans les Amériques, aux régions de langue anglaise7.----Cette sorte d'« ingérence » est toujours combattue, au nom des droits de la mère patrie, par Madrid où le concept d'Amérique Latine n'a toujours pas droit de cité, mais où prévaut au contraire le concept d'hispanité. Les Espagnols ont toujours préféré les expressions Hispano América ou encore Ibero América pour la désigner. Plus récemment, les géographes utilisent l'expression « Extrême-Occident » pour parler de l'Amérique Latine.

L'Académie française, quant à elle, définit l'Amérique Latine comme l'ensemble des pays d'Amérique qui ont été colonisés par l'Espagne et le Portugal. Différentes approches possibles : Le parc de l'Amérique-Latine à Québec rend hommage aux peuples de l'Amérique Latine pour lesquels les Québécois, «Latins du Nord», ont développé une vivante amitié et une profonde solidarité.

L'expression peut aujourd'hui désigner :Selon un critère linguistique: l'ensemble des pays du continent américain où l'on parle l'espagnol ou le portugais. L'Amérique Latine comprend donc la majeure partie de l'Amérique du Sud, de l'Amérique Centrale et en partie l'Amérique du Nord (le Mexique). À l'exception éventuelle d'Haïti, le français, malgré son caractère de langue latine, ne joue guère de rôle pour définir l'appartenance à l'Amérique latine.---Selon un critère géographique et culturel : tout l'espace compris de la Mexamerica au Nord, à la Terre de Feu au sud et comprenant, le Mexique, l'Amérique Centrale et caraïbe, les pays andins, le Cône sud et le Brésil. Ce vaste ensemble de 22 millions de km² et de plus de 550 millions d'habitants connaît de profondes disparités mais trouve son identité dans des histoires coloniales et des conquêtes d'indépendances similaires, des modes d'occupation de l'espace et des rapports sociaux comparables.

Selon un critère géopolitique :une « représentation [...] qui va à l'encontre de la division classique et géologique du continent en trois parties », un ensemble que l'on peut opposer à l'Amérique du Nord anglo-saxonne.
Même si l'expression « Amérique Latine » peut être diversement comprise, même si la définition du périmètre correspondant n'est pas toujours précise, on considère assez généralement que l'Amérique latine est constituée de 19 pays12, listés ci-dessous, en excluant Porto Rico, « associé » aux États-Unis, et Haïti, pays indépendant qui parle une langue latine, mais qui n'est ni l'espagnol ni le portugais, à la différence de tous les autres (ces deux pays figurent cependant ici pour mémoire, dans un tableau spécifique). D'autre part, l'examen attentif de l'histoire et de la culture de l'Amérique Latine montre que cette dernière ne constitue pas un ensemble culturellement homogène : l'expression « Amérique Latine » efface le passé précolombien de la région, pour ne s'attacher qu'à la langue des colonisateurs.-------Une définition simple et claire, souvent rencontrée, fait ainsi de l'Amérique Latine l'addition des 18 pays indépendants de langue espagnole d'un côté (« l'Amérique espagnole »), et du Brésil (de langue portugaise) de l'autre17.

Cette définition de l'Amérique latine, est cohérente avec le concept du « partage du monde » signé en 1494 par l'Espagne et le Portugal lors du Traité de Tordesillas18, établi pour définir le partage du Nouveau Monde - considéré comme terra nullius - entre les deux puissances coloniales émergentes, l'Espagne et le Portugal, avec pour ligne de partage un méridien nord-sud localisé à 370 lieues (1770 km) à l'ouest des îles du Cap-Vert - méridien qui se situerait aujourd'hui à 46° 37' ouest.

Quelques textes historiques de grands classiques :

PLATON ,dans Cratyle :"le vrai = c'est l'être"
ARISTOTELES, dans les premiers analytiques :"la vérité est dans le jugement"
Sextius EMPIRICUS, dans Esquisses Pyrhoniennes"Tout est relatif"
MONTAIGNE, dans ses essais "Notre jugement et toutes choses, vont coulant et roulant sans cesse."
René DESCARTES, dans ses méditations métaphysiques: "la connaissance de la vérité est une action volontaire."
G.W. LEIBNIZ, dans Monadologie: "Distingue Vérité de raison, et vérité de fait."
F.NIETZSCHE, dans le gai savoir:" la vérité est le mensonge de l'idéal"
W.JAMES, dans le pragmatisme:" la vérité ne se connaît que par l'action."
J.WALH, dans l'introduction à la pensée de HEIDEGGER:"A propos de l'essence de la vérité."

Copyright Guy CREQUIE
Ecrivain au service de UNILETRAS-Semences de jeunesse.

SIMONE WEIL: Filosofa francesa y... UNILETRAS y Semillas De Juventud!
Simone Weil, escritora y filósofa francesa (Paris-1909-Londres -1943) tuvo como Profesores a LE SENNE Y ALAIN. Ingresa a la Escuela Normal Superior (1928), trabajó como obrera en Renault en 1934-35. En 1936, combatió al lado de los Republicanos españoles, y en 1942, se incorporó a la Francia libre.
Obtuvo notoriedad como escritora, después de su muerte. Sus principales escritos son: "La Gravedad Y La Gracia" (1947) - "El Conocimiento Sobrenatural (1950), "El Arraigo" (1950), "Carta A Un Religioso" (1951), "La Condición Trabajadora" (1951)." los cuales se publicaron después de su muerte cuando se abrieron sus diarios íntimos, manuscritos y artículos .En qué su obra: ¡Su obra debe ser de interés en Uniletras y Semillas De Juventud ya que ella combina espiritualidad y compromiso humano!
Su misticismo cristiano nos revela su compromiso con el mundo. Su obra estudia la convulsión del mundo, el de su tiempo, desgraciadamente el actual, la guerra, las desdichas de la humanidad trabajadora y reflexiona hondamente por la justicia social y la salvación individual. Aplicable a las nuevas generaciones como una llamada contemporánea al esfuerzo, el rigor del espíritu y la pasión del corazón.
Más allá de su elección personal de conversión del judaísmo al catolicismo, lo fundamental que retengo de su obra es este vibrante argumento a favor del desarrollo del espíritu a través de la educación cultural como destino común garantes de nuestro devenir. Entre los objetivos de UNILETRAS! Semillas de juventud y su metodología, constituye la mejor de las herramientas en el proceso de su desarrollo como adultos responsables, comprometidos y claros,
Copyright Guy CREQUIE
Escritor francés con finalidad filosófica
Al servicio de UNILETRAS- Semillas De Juventud------

SIMONE WEIL : philosophe française et .......UNILETRAS et semences de jeunesse !
Simone WEIL, écrivain et philosophe française (Paris-1909-Londres -1943) eut pour Professeurs : LE SENNE et ALAIN. Entrée à l'Ecole normale supérieure (1928), elle a travaillé comme ouvrière chez Renault en 1934-35. En 1936, elle a combattu aux côtés des Républicains espagnols, et en 1942, elle a rejoint la France libre.Sa notoriété d'écrivain, l'a surtout été après sa mort. Ses principaux écrits sont : « La pesanteur et la grâce » (1947) - « La connaissance surnaturelle » (1950), « L'Enracinement » (1950), « Lettre à un religieux » (1951), « La condition ouvrière » (1951). » Ils ont été publiés après sa mort après l'ouverture de ses journaux intimes, manuscrits en travaux, articles projetés.En quoi son œuvre : peut-elle intéresser UNILETRAS, et semences de jeunesse? Ceci, car elle alliait spiritualité et engagement humain !
Son mysticisme chrétien a pénétré son engagement dans le monde. Son œuvre, résonne de l'écho du bouleversement du monde, de la guerre, des malheurs de l'humanité laborieuse. Tout ceci malheureusement correspond également au monde actuel.
Sa recherche est passionnée pour la justice sociale ; le salut individuel, et est exprimé dans un style au service d'une réflexion vigoureuse.UNILETRAS, pour la nouvelle génération, est également un appel contemporain à l'effort, la rigueur de l'esprit et à la passion du cœur.
Si André MALRAUX, avait prédit un XXI è siècle métaphysique (et j'ajoute que le présent l'exige), malgré des égarements, les apparences matérielles actuelles exacerbées par la crise et médiatisées .Cependant, ce sont surtout et autant des symptômes du dépassement à venir, d'une recherche intériorisée de l'homme qui se développera dans son ouvrage « L'enracinement. »
Simone WEIL, imagine une cité nouvelle qui ne va pas sans une révolution non pas politique, mais spirituelle.
Dans le travail ouvrier relaté dans son ouvrage « La condition ouvrière », elle insiste sur ce qu'elle considère comme la condition ouvrière d'un travail non servile = un principe de finalité : c'est-à-dire, celui de la prise en considération de la qualité de « personne » qui caractérise tout employé.Alors, que tant de femmes, d'enfants, d'hommes sont encore exploités de nos jours dans : les champs, les mines, les exploitations diverses, les ateliers,...la prise en considération de la qualité humaine de chacune et de chacun = prédispose, favorise,
L'expression de sa créativité : non seulement dans le travail salarié, mais en se percevant respecté, digne, cela favorise l'expression littéraire et artistique sous leurs différentes formes.
Dans l'ouvrage moins connu par le grand public publié en 1955 sous le titre « Réflexions sur les causes de la liberté et de l'oppression sociale » : Simone WEIL, explique, que la démocratie ouvrière de MARX, reste une utopie méprisée par la réalité du système socialiste soviétique. Elle exprime : que le seul contrepoids possible à la société oppressive est cette pensée qui ne peut se laisser contraindre. Ceci, car la puissance enferme une espèce de fatalité qui pèse aussi inexorablement sur ceux qui commandent que sur ceux qui subissent.
Au-delà de son choix personnel de conversion du judaïsme au catholicisme, ce que je retiens d'essentiel de son œuvre, est ce vibrant plaidoyer pour la rigueur et le développement de l'esprit.
La Société contemporaine, et la volonté de puissance et de pouvoir de certains dirigeants d'Etats, de grands groupes financiers, de fanatiques religieux, portent en elles le risque de guerre.
La recherche personnelle intérieure, la lecture des grands chefs d'œuvre de la littérature, forgent une réflexion, une autonomie citoyenne prête à l'engagement ;Ainsi, la culture, l'éducation au respect des cultures, à notre appartenance à un destin commun, sont les meilleurs garants de notre devenir.Ce que je viens dénoncer ci-dessus : ce sont les objectifs d'UNILETRAS ! Semences de jeunesse, constitue une intention particulière d'apporter à la jeunesse les outils d'analyse, de connaissance, d'humanité indispensables à son développement pour en faire : des adultes responsables, engagés et éclairés.Copyright Guy CREQUIEEcrivain français à finalité philosophiqueAu service d'UNILETRAS- semences de jeunesse-

è-mail Guy Crequie" guy.crequie@wanadoo.fr