  
      
         
         	    
            
               | 
                     
                  Vamos Poetas! Vamos a redimir
                     la raza humana... ¡Antes de que triunfe Koyaanisqatsi Siglo XXI! ¡Vamos Poetas!  Vamos a redimir la raza humana... ¡Que cesen los lamentos solitarios! ¡Que se escuche unísono
                     el Poema Libertario! Que parta ya la cabalgata de Poetas por la ruta trazada por los Dioses y las Musas desde su anclaje en la cima de los
                     siglos... !Antes
                     que llegue Koyaanisqatsi! !Antes que llegue Koyaanisqatsi!Joseph BeroloTOGO
                     AFRICA
  
                  
                  ¡KOYAANISQATSI! EL POEMA EN ESTE VINCUL0 **** Koyaanisqatsi! ...El Poeta Armado de pluma, de antorcha y adarga, de oda, soneto,
                           pasión y esperanza, el Poeta llevaba la vida en la diestra... Koyaanisqatsi, ¡La Muerte! Habló el Poeta... 
                | 
             
          
         
      
        
       EL LOGOS Y LA PAZ
 IRENE MERCEDES AGUIRRE 
 ¿Cómo
         funciona el Logos que en mi cerebro mora? ¿De qué forma adquirimos ese sendero abierto,  que desde
         la materia se puso en movimiento,  entre los vericuetos de carne abrasadora? ¿ Cómo se expresa el Logos en nuestro entendimiento? ¿Pasamos,
         simplemente, un día del otrora, a cuestionarnos todo? ¿A develar la aurora con juicio razonado, lenguaje
         y argumento? ¿Y entonces, por
         qué causa nos hemos detenido? ¿Por qué estos horizontes cargados de falacias deforman nuestro
         logos de modo pervertido? ¡Limpiemos
         entre todos la cruz de las desgracias que azotan el presente, con Logos revivido en aras de la Paz, borrando suspicacias!
             
      
      
         
         	    
            
               | 
                   
                     
                     	    
                        
                           | 
                                 
                              Écrire, à quoi ça sert ? © Poème de Théa Marie ROBERT, écrit le 8 Janvier 2015 en hommage à
                                 CHARLIE HEBDO, son courage éditorial, et aux personnes victimes de l'attentat du 7 Janvier 2015 Ecrire un poème... à quoi ça sert ? Faire un dessin...
                                 à quoi ça sert ? Savoir rire de tout et de rien... à quoi ça sert ? Être un esprit
                                 libéré... à quoi ça sert ? Être une femme libre, un homme libre ... à quoi
                                 ça sert ? Fabriquer une arme, à quoi ça sert ? Vendre des armes, à quoi ça sert
                                 ? Utiliser des armes contre des livres à quoi ça sert ? Assassiner des journalistes, des pamphlétistes, des caricaturistes, des humoristes, à
                                 quoi cela sert-il ?  Se taire, promouvoir l'obscurantisme à quoi cela sert-il ? La liberté est
                                 notre valeur la plus précieuse une valeur chérie, élevée à la hauteur de notre courage de notre résistance face à la barbarie Concevoir
                                 et engendrer la liberté, l'acquérir, la bénir est un CHEMIN de VIE, un chemin vers la paix
                                 intérieure L'enseigner aux enfants est une nécessité, la protéger un devoir collectif Conquête de l'esprit, LA LIBERTÉ au moyen du stylo, du dessin et des mots exprime nos différences
                                 et notre créativité Insoumise aux dictats
                                 des idéologies stériles  dominées depuis des siècles... des millénaires, par
                                 des guerres de conquêtes fratricides, idéologies expurgées de visions, d'interprétations féminines, insoumise... je m'exprime en mon nom,  au nom des femmes de notre humanité qui, ici et ailleurs, sous le
                                 feu des violences, n'ont pas, n'ont plus ou n'ont jamais eu la parole Sur le Mont Blanc, la neige étincelante brille ce matin de son éternelle pâleur  malgré tous les diamants de ses cristaux  Dans mon coeur, mon âme assassinée pleure La liberté,
                                 menacée par la folie armée  ennemie des crayons, du papier, surgissant de sordides profondeurs  pour briser de fragiles équilibres... devant l'horreur, la liberté pleure des fleuves  charriant
                                 tristesses et douleurs 
  Mon chemin d'harmonie, de joie et d'espérances, endeuillé, s'enveloppe
                                 dans un incommensurable chagrin  baigné d'un océan de compassion et de consternation J'ai mal à
                                 tout mon ÊTRE à toute l'humanité en mon coeur, mal à mon âme, à mon amour
                                 de la VIE J'ai mal au coeur de l'humanité dont je suis, mal à la liberté, la mienne et celle
                                 d'autrui Ecrire un poème, à quoi cela sert-il
                                 ? Faire un dessin, à quoi cela sert-il ? Savoir rire de tout et de rien, à quoi cela sert-il ? Sinon à épanouir et à servir la liberté Je porte en ce jour sombre le brassard noir  signe de deuil et de douleur que portaient, dans les cortèges funèbres de mon enfance, les hommes
                                 touchés par la mort de leurs proches et je ne porte plus le voile noir de mes mères, le voile de deuil
                                 qui cachait leurs visages et leurs peines Les larmes des
                                 peuples libres coulent librement sur les joues ensanglantées et les coeurs horrifiés J'ai mal à
                                 mon amour de femme, de mère, de soeur, à mes pensées, mes paroles, mes regards, à ma libre
                                 conscience à tout ce que JE SUIS, tout ce que JE veux ÊTRE, tout ce que j'ai été hier pour qu'aujourd'hui, demain, et pour toujours une femme exprime sa liberté de voir, de dire et de penser pour qu'aujourd'hui, demain, et pour toujours mes frères avec audace expriment  leur liberté de
                                 voir, de dire et de penser sans violence et sans armes 
                              
                            | 
                         
                      
                     
                  
                  Françoise Marie BERNARD PHRASES POUR NATIONS UNIES DES LETTRES en Français et en Espagnol ===================================== ======================  Hommes ! Nous
                     sommes des Hommes !Des Etres Humains dotés de conscience et d'intelligence. A partir de là,, nous devons profiter
                     de ces formidables facultéspour faire le bien, pour combattre et tuer le mal dans son nid,pour qu'enfin et pour toujours,
                     existe une vie de Paix pour l'Humanité !Vive la Paix !Etres Humains, réunissons-nous pour protéger la
                     vie, toutes les vies. Tous les êtres vivants ont droit à notre respect ; êtres qui vivent à nos
                     côtés sur cette planète, belle et fragile planète,sur laquelle nous devons apprendre à vivre
                     en harmonie avec tout ce qui existe sans jamais détruire aucun être humain ni aucun être vivant, par haine
                     ou par peur !Vive la Vie !¡  ¡Hombres! ¡Somos Hombres!¡Seres Humanos dotados de conciencia y inteligencia.desde
                     entonces tenemos que disfrutar de estas maravillosas facultades para hacer el bien, para combatir y matar el mal dentro de
                     su nido, para que por fin y hasta siempre, existe una vida de Paz para la Humanidad! ¡Que viva la Paz!Seres Humanos, juntémonos para proteger la vida, todas las vidas.
                     Todos los seres vivos tienen derecho a nuestro respeto; seres que viven a nuestros lados en ese planeta, bello y frágil
                     planeta, en el cual debemos aprender a vivir en armonía con todo lo que exista sin jamás destruir a nadie ni
                     a nada, por odio o por miedo!¡Que viva
                     la vida! 
 
  
                   
                | 
             
          
         
      
      
         
         	    
            
               | 
                   Pourquoi restais-tu près
                     de moi Quand tes compagnes
                     s'en furent Si loin,
                     pour d'autres émois ? Ce
                     jardin te charme-t-il sans usure ?   Sais-tu, qu'au fond de mon cœur Vit une étincelle d'humanité Qui voudrait que les hommes ne meurent Jamais par la haine et la stupidité ?   Viens-tu par ton nom, ô colombe, Evanouir les puissants sortilèges Des rumeurs de guerre, d'hécatombes, Posant ton aura sur ce vil manège ?   vas et survole le monde des élites ; Apprends-leur les sourires d'enfants ; Dis-leur que le pétrole tarit bien vite Mais que la vie offre toujours ces doux moments !   Vole plus loin encore, parle
                     aux guerriers de partout, Pose dans
                     leur cœur le miel qui manque à leur âme ! Rapporte-moi les chants paisibles de leur esprit plus doux... Afin que renaissent les sentiments et leurs flammes...   Un jour viendra
                     peut-être Où les humains
                     cesseront d'agiter Les vents de la haine
                     pour renaître Dans les harmonies
                     d'un monde de paix...   Alors peut-être seras-tu vraiment Un symbole de Paix volant sur nos têtes, Apportant une sérénité nouvelle aux peuples aimants, Cultivant la fraternité dans les âmes en fête...   Françoise
                     Marie Bernard Le 10 octobre 2014   
                  
                  LES ENFANTS SOLDATS  Messieurs les dirigeants ; les rapaces ; Vous qui mettez vos ignobles armes Dans les mains des enfants ; ignoble farce ; Pensez-vous qu'ils comprennent
                     vos âmes ?
 Croyez-vous
                     qu'un petit Etre Humain Aiment tuer des femmes et des hommes ? Vous lui inculquez une haine d'airain A laquelle
                     il ne comprend rien ! Pauvre bonhomme ! Pauvre enfant, vêtu de vert, Couleur de l'espérance que l'on a voulu Insidieusement,
                     de guerre ; Un vert caché, un vert moussu... Des enfants sans maison Enrôlés de force ; des anges esseulés Que la
                     vie a orné de blasons Pour parents sans amour ni pitié ! Vous faites d'eux de la chair à canon, Des cibles gratuites prenant
                     votre place sans nom ; Des joueurs de billes ayant pour mission D'ignorer leur enfance pour nourrir vos millions
                     ! Avec vos armes, ils écrivent
                     sur leurs victimes Les cris du pouvoir et de la haine Car vous, les aigles de ce monde, loin de cet abîme, Leur dictez votre besogne d'hyène... Y aura-t-il quelqu'un qui veuille un jour, Arrêter tout cela ? Quelqu'un parmi vous les puissants, Qui ait le courage d'affronter les bouffeurs d'amour, Pour que cesse cet éternel combat, loin de l'argent ? Quelqu'un dont l'intelligence lui dictera un chemin Pour l'amour des peuples, vous faisant enfin comprendre Que les Etres Humains peuvent s'entendre ; que vos gros butins Ne vous offriront pas le vrai bonheur d'une Paix à prendre ! Françoise Marie BERNARD Le 22 février 2012
     
                  
                  MARIE FRANCOISE  Je veux un baiser de toi, Un baiser doux
                     et magique, M'emmenant dans ton pays de rois Où rêver jusqu'à l'aube féérique... Je veux un baiser tendre ; délicatesse Qui m'envahit le cœur en chanson, M'enveloppant de tendresse Jusqu'à une douce déraison... Je veux un grand baiser à l'aurore, Emplissant d'émotions mon âme, Pareil à une vague sous un soleil d'or, Invitant le verbe Aimer
                     et ses flammes... Donne-moi
                     un baiser chaud, puissant, Me faisant frissonner à l'intérieur, Ressentant ce moment voluptueux et
                     envoûtant Pour nous enlacer de bonheur. Donne-moi un baiser géant, passionné, Tel un volcan présomptueux, volcan M'emmenant dans un monde enchanté Où nous aimer doucement. Je veux un baiser tiède, un baiser d'amour, Pour sentir
                     ta douce tendresse, Me rendant amoureuse de toi, de ta chaleur... Amour Passion entre nous deux, folie et caresses... Françoise Marie BERNARD Le 05/09/11 Adapté de mon texte écrit directement
                     en espagnol 
                   
                | 
             
          
         
      
       OBJETIVO,Mi objetivo es escribir y compartir mis poemas y pensamientos en relacion con la paz
         en este mundo asi que por la proteccion del planeta sin el cual no podremos vivir, siguiendo destruyendolo. Tambien compartir
         amistad con gente de culturas diferentes de la mia, porque considero que siempre es enriquesedor.
  
      
      BIOGRAFÍA  Soy francesa, nacida en un valle apodado
         El Valle de Los Poetas, lugar conocido como  nido de poetas desde tiempos inmemoriales  Mi
         padre era de Marsella, hijo de  madre italiana y padre francés,  por  eso
         tengo raíces latinas.Soy  casada y madre de tres hijos. Soy muy apasionada y me intereso por casi todo. Debido
         a que en mi adolescencia me incliné por la geología, la volcanología, la antropología, y las ciencias
         de la Tierra en general, es natural que ene l presente escriba temas pertinentes. También me apasiona la música
         en general y la latina en particular, al punto que la considero como remedio para mis males Igualmente estoy enamorada de
         la botánica,los jardines ornamentales y las  plantas medicinales Adoro  la naturaleza e intento
         cuidar a mi familia de manera natural.  Actualmente trabajo en la creación de un diccionario botánico de
         los nombres comunesd e las plantas ornamentales, medicinales y otras Tengo muchas plantas en mi casa, y mi jardín está
         diseñado como un parque botánico para que mis visitantes puedan conocer el origen de  las
         plantas y sus líneas familiares En ello dedico mucho tiempo y energía Quisiera  poder incluir plantas en
         vía de extinción para salvaguardarlas. Desde mi adolescencia adoro el idioma español, que estudio constantemente
          para aprenderlo mejor y conectarme en la  red cibernética con quienes lo escriben..Todos los días
         leo sus poemas Gracias a ellos que me ayudan a corregir mis errores, he progresado en su aprendizaje, aunque todavía
         cometo errores idiomáticos. Mil excusas por ello  A pesar que  el virus de la pluma me cosquilleaba
         desde mi adolescencia, comencé a escribir hace un poco más de diez años y hoy me expreso especialmente
         con poesía. Trabajé mucho para  traducir mis textos al español  lo
         que adoro  para que en "La red",se puedan conocer .  Si hoy estoy donde estoy con
         mis textosy conocimientos, es gracias a mis amigos de habla hispana.  Lo que les agradezco muchísimo Trat
         otemas bastantes variados, sobre la naturaleza en general y otros y ten gouna necesidad casi vital, de escribir mis iras en
         relación con el daño que los humanos hacemos a nuestro planeta. Diría que esa es una necesidad que me
         domina. 
       
    
   
   
   | 
     | 
   
   
   
   
      
      
      LA CASA DE VERCUERES   Un lindo pueblo en el medio del valle
 Donde el rió Authre se desliza apaciblemente, Abriga
         viejas piedras rosadas donde mis recuerdos van y vienen, indolentes...  Un puente de madera, muy bonito,
         teñido de verde mar,
 cabalgaba el rió encantador, El cual refrescara Vercuères y sus laderas para
         llevarme hacia la infancia de mi padre...  Y este lindo camino de guijarros claros
 subiendo hacia esta bella
         morada; fue largo y orillado de acacias; altivos De embalsamar el aire ambiente, con sus flores...  Luego,
         allá arriba, un gran portal se abría,
 Invitándonos en el jardín ornamental; Donde,
         en dueños, dos plátanos tropicales reinaban Al medio de este universo floral...   Estaba ahí,
         delante de mí, esta bella casita,
 Sobre una colina dominando el burgo de Vercuères. A sus pies fue
         posada, Al abrigo de grandes abetos verdes...  ¿Quizás Gandilhon Gens d'Armes la hubiera hollado,
 El,
         el poeta amoroso de este valle; El, quien conociera los huéspedes de esta comarca, Y de quien el recuerdo
         impregno mi padre durante todos esos años?  Grande y acogedora a medida de deseo,
 Su gran porche sobre
         la fachada Se abría sobre una escalera muy ancha, Conduciendo a un jardín de jade...  Y
         descubrí una pequeña alameda
 Con sus dulces olores estivales, Con sus flores coloradas preciosamente, Donde
         una brisa ligera dejaba su velo...  Tilos grandes bien tallados
 Sombreaban este jardincillo, Donde
         yo me placiera a soñar, Sentada sobre la hierba; en libertad...  Yo me dejo distraer por ese dulce ruido
         de agua, Imaginando las aguzanieves dando vueltas y revueltas, Por encima de la onda; o por el gran salto de una
         trucha, Cazando el insecto imprudente...  Adivinaba el dulce canto de nuestro rió,
 Nuestra bella
         Authre, ondeante, indolente, Al pie de una gran pared de piedras, Abrigando los petirrojos a la sombra de los
         fresnos gigantes...  Mi padre ha crecido ahí, en esa casa,
 Donde el chapoteo de la onda melodiosa
         mimó su infancia, Entre ovejas y pastos donde mueren Recuerdos de los veranos de su despreocupación...  He olvidado el interior de esta casa
 Pero su olor queda en mi memoria de pequeña niña, Quien,
         a la bella estación, viniera pasar algunas horas Cerca de esta casa solariega.  Papa me contó
         tantas veces sus jornadas
 En su pueblo que no pudiera olvidarlas. El adoraba esa casa Y guardare en mí,
         todas esas bellas imágenes, también su alegría De compartir conmigo sus pequeñas felicidades...  A él le gustaba muchísimo ese lugar
 Y amaba a la gente que lo hubiese acogido. Esa casita me encanto
         también, a su manera, Y le dedico, hoy, esta poesía... Françoise Marie BERNARD   
      
      
         
         	    
            
               | 
                     
                   Voltaire, Diderot, Rousseau ; levantaos ! los
                     hombres del siempre presente ; las luces de libertades ; levantaos ...
  
                  
                  CHARLIE
 
  Los Reyes Magos ya se han ido... Detras de
                     ellos... funestas marionetas
  Promesas de sombras fugitivas el terror, Charlie ; somos todos, la
                     gente de mi pais...
  Ustedes, ustedes los humoristas graficos,
  Lapices, dibujos para la vida...
 
  Teneis tolerancia en el corazon,
  y si el oscurantismo, vino a callaros, Vuestros pensamientos inundaran
                     para siempre nuestras fronteras...
  Voltaire, Diderot, Rousseau ; levantaos ! los hombres del siempre presente
                     ; las luces de libertades ; levantaos ...
 
  A los que quieren matar a la
                     cristiandad milenaria. Y hacer callar la laicidad y nuestras libertades del Ilumismo, Os digo :los franceses, defensores
                     seculares protegerán la libertad.
  Françoise Marie BERNARD El 9 de enero de 2015 
                  
                | 
             
          
         
      
        
      “Alahu
         akbar”,   *La locura de la vida. El destino del hombre. La desintegración de lo humano.  Un estado de cosas que reclama otra manera de vivir'EL POETA LLEVABA EN SU DIESTRA LA VIDA  KOYAANISQATSI LA
         MUERTE
  
      
      C H A R L I E
  7 janvier 2015 - Bonne Année
         ! Les Rois Mages, déjà, s'en sont allés... Derrière eux... de funestes marionnettes Viendraient s'abattre sur des poètes...
  Moult promesses des ombres fugitives Allaient pleuvoir sur
         mon pays. Charlie ; nous sommes tous, sur cette rive, d'autres Charlie, nous les gens de ce pays...
  Vous,
         vous les dessinateurs du rire, Vous n'avez pourtant pas tiré... Des crayons, des dessins pour rire... Pas des armes pour assassiner !
  Animés vous étiez par la tolérance dans vos cœurs, Pourtant l'intolérance d'âmes de pierre prisonnières D' un carcan d'obscurantisme, vint vous ôter
         ce cœur. Vos pensées inonderont à jamais nos frontières...
  Voltaire, Diderot, Rousseau
         ; relevez-vous ! Vous, les hommes d'un temps encore présent, Vous, les lueurs de libertés, relevez-vous... Venez éteindre les fureurs des outrecuidants...
  On veut tuer la chrétienté bimillénaire. On veut faire taire la laïcité et nos libertés des Lumières, Mais les Vieux Français,
         défenseurs séculaires, Toujours protégeront les libertés de notre Ère...
  Françoise Marie BERNARD 09 janvier 2015
 
 
   
      
      
         
         	    
            
               | 
                   HARMONIE NOUVELLE Lumière bleue d'un jour heureux ; Sentiment de bien-être
                     au petit jour ; Envie d'une vie harmonieuse Sous un ciel bien trop lourd... La conscience universelle Chante une mélodie nouvelle Que pinsons et tourterelles Fredonnent sous les tonnelles... Etre humain, toi qui te dis si grand, Vas-tu enfin ouvrir ton cœur Aux notes
                     fleuries, effaçant les tourments Dans une farandole de bonheur ? Un nouveau destin commandera ce monde Où l'argent et la violence devront se taire... La fraternité brillera, laissant sous la rotonde Les cultures diverses embellir notre Terre... Harmonie des peuples dans un monde de Paix ; Univers d'humilité et de compassion ; Sentiments humains pour se dire de s'aimer... Tout ceci est en nous
                     pour la guérison... La
                     course à l'argent et au pouvoir S'arrêtera un jour, offrant à l'humanité Un chemin d'amour
                     vers un miroir Où reflètera ; pour les cœurs ; une harmonie de beauté... Françoise Marie BERNARD Le 28 janvier
                     2011 ARMONÍA NUEVA Luz azul de un día feliz, soleado, Sentimiento
                     de bienestar en la madrugada; Ganas de una vida armoniosa Bajo un cielo ya muy pesado... La consciencia universal de los hombres Canta una melodía
                     nueva Que pinzones y tórtolas Canturrean bajo los cenadores. Ser Humano, tú que te dices tan grande, ¿vas, por fin, abrir tu corazón
                     oscuro Para notas florecidas, borrando tormentos En una farandola de felicidad amante? Un nuevo destino controlará ese mundo egoísta Donde
                     el dinero y la violencia deberán callarse... La fraternidad brillará, dejando bajo la rotonda Culturas
                     diversas, embellecer nuestra Tierra... Armonía
                     de los pueblos en un mundo de Paz; Universo de humildad y de compasión; Sentimientos humanos para decirse
                     de amarse... Todo esto lo tenemos por dentro, para la curación... La batalla para el poder y el dinero Se detendrá un día, otorgando a la
                     humanidad Un camino de amor hacia un espejo Donde se reflejará; para los corazones; armonías de belleza... Françoise Marie BERNARDl 28 de enero de
                     2011 
                  
                | 
             
          
         
      
      CINCUENTA AÑOS DE RISAS Se llega a los cincuenta años  de
         vida simple, donde uno avanza sin aún pensarlo; cambiando año tras año; sin esperanza... Hay los cincuenta años Donde las escapadas
         destruyen  los espíritus, separando los corazones en el viento de colinas vertiginosas de la vida... Hay los cincuenta años de la felicidad donde Cupido cuenta sin cesar la armonía de ilusiones bienaventuradas, el sol en el corazón; sin
         embriaguez... La vida te
         ha hecho caminar dentro de sus meandros tumultuosos, pero, sereno, enfrentaste todos los espejismos de los
         días laboriosos... La
         risa vive en ti al cotidiano y embellece el humor de nuestra casa, haciendo de tu dulce jardín un lugar
         de paz y de cantos... Cincuenta
         años para ti, Es el tiempo que pasa, sí, pero sin malas emociones... la flor pálida de
         la tristeza te huye...  Tu
         eterna necesidad de risas es un sol para todos los espíritus, transmite la alegría y las sonrisas de tu ser en la morada... Una
         retahíla de dulzura centellea en el fondo de tu alma; Aun si a veces algunos rancores  Se expresen en
         ti, cosquilleando tu llama... La
         fatuidad nunca compone tu cesta de frutas, la sencillez saborea ahí el verano Por tu gentileza, lejos
         del desprecio...  Hombre
         eres, con tu carácter muy masculino, pero la vida hizo de ti  Un ser cariñoso y bonachón. Para ti, cada día, ¡mi corazón late...! Françoise Marie BERNARD 
       
      MENINOS SOLDADOS  Senhores dirigentes; os rapaces; Vocês que põem innobles armas em mãos de meninos...
         ¡Innoble brincadeira! Pensam vocês que eles compreendem sua guerra? Criem vocês que um pequeno
         ser humano quer matar a mulheres e homens? ¡Vocês inculcam um ódio cruel a quem não
         entende nada! ¡Pobre menino, vestido de verde, cor da esperança insidiosamente tingido, ¡De
         guerra! Um verde escondido, um verde musgoso... Garotos sem casa alistados à força; anjos sós que a vida tem ornado de graças para viver sem amor nem piedade! ¡Carne de canhão! Brancos
         gratuitos num lugar sem nome;j ogadores de berlindes, têm por missão ignorar sua infância para
         alimentar vossos milhões! Com vossas armas, sobre suas vítimas, gritos do poder e de ódio. Vocês, os corvos deste mundo,  Longe, em seu abismo, lhes ditam seu trabalho de hienas... Terá
         um dia alguém que queira parar tudo isso? Alguém entre vocês os poderosos, que tenha o valor
         de acabar este eterno combate? ¡Alguém cuja inteligência lhe dite um caminho de amor ¡ Françoise
         Marie BERNARD 
  
      
      
         
         	    
            
               
                  Amor por la cultura latinoamericana Françoise Marie Bernard ¡Esta
                     cultura es musical, y tan agradable... nació de una gran historia de desilusión!  ¡es inolvidable
                      porque es también desesperación!  Me
                     apasiona desde mi infancia. ella rehúsa ser monótona, y me cuenta sus sufrimientos y su alma... Me obsesiona constantemente porque es embrujadora, está
                     anclada profundamente en mi corazón, es hechicera...  ¡Siento una irresistible necesidad de bailar tan pronto que la oigo! ¡que ambiente!  ¡no
                     puedo impedirme cantar porque es un fuego ardiente! Ella
                     es suramericana en los corazones y en las cabezas, es la soberana para todo un pueblo en fiesta... Ella es caribeña con todos sus ritmos endiablados me
                     desencadena con sus sonidos soleados... El
                     amor de esta cultura, con delirio; es para mí, el placer delicioso de ver bailar a la gente, sin susurro, sobre ritmos evocando el deseo... Es adorar
                     su necesidad de movimientos que me arrebata irremediablemente hacia unos pasos irresistibles ; pasos que me
                     conducen hacia sueños, maravillosamente...  ¡Ella
                     nos cuenta a veces, sin rodeo; las penas de su pueblo, deseoso de hacernos conocer a pura salsa la música
                     que hace feliz el alma! ... 
 
 Me gustan todas las notas de esta cultura, y todos los colores
                     que lA visten, con alegría... van directamente en mi corazón que arde  de saborear tantas hechicerías
                     de vainilla... Me gusta la felicidad de tantos
                     rostros, que quieren mostrarnos que lo son, sabiendo de todas maneras, que aun bailando, no olvidan sus días
                     de tristezas, aunque discretos... Me encanta el
                     inalterable buen humor que nos transmite bajo su sol y frente al mar; lecciones de vida y de calor son tan
                     humanas, para darnos el despertar... Tendré
                     siempre la ilusión tenaz de llevar, en algún sitio de mi mente, su música y su esperanza,  y un pequeño trozo de esa tierra; indefinidamente...  
                   
                | 
             
          
         
      
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   |